Le mot semble approprié au regard de la situation financière et économique des pays de la zone Euro qui n’en finissent plus de se réunir pour sauver l’Europe, la zone Euro, l’euro lui-même, le triple A, la possibilité d’être réélu ? On ne sait plus tant les intérêts des uns et des autres sont opposés tout en étant mélangés, liés, interdépendants. Heureusement il y a la Chine ! Mais passons sur ce naufrage là dont les médias nous rebattent les oreilles. Evoquons plutôt celui dont plus personne ne parle. Certes, il a eu lieu assez loin des côtes françaises. Mais tout de même ! Le 5 octobre dernier, la Nouvelle-Zélande, en pleine effervescence en raison de la coupe du monde du rugby qui avait lieu sur ses terres, a aussi accueilli, bien malgré elle, le Rena. Un porte-conteneurs qui s’est échoué dans la baie de Plenty où s’abritent baleines, dauphins et autres cormorans. Un échouage qui a déjà contribué à déverser environ 300 tonnes de fuel sur le littoral néo-zélandais et, d’après les informations glanées çà et là sur Internet (mais il est difficile de trouver des informations récentes), le pire reste à venir puisque le Rena contenait au total 1 700 tonnes de fuel et plus d’un millier de conteneurs.
Je vous invite à suivre le lien ci-dessous, un portfolio consacré à cette énième catastrophe écologique par le journal belge Le Soir. Les banques vont être recapitalisées avec l’argent du contribuable, c’est tout de même l’essentiel, non ?