La journée avait commencé sur les chapeaux de roue… en changeant une roue. Arrivé en retard à notre réunion hebdomadaire, Leroux pavoisait déjà: « la roue tourne ! » s’exclamait-t-il devant qui voulait l’entendre. « Un peu sûr de lui ! » pensais-je tout en l’imaginant tel le paon, faire la roue. Afin de lui apprendre un peu la vie, j’étais plus tenté par le fait de lui mettre des bâtons dans les roues plutôt que de le pousser à la roue. Ne sachant cependant que faire, je décidais de me mettre en roue libre. La réunion se déroulerait sans moi. La grande roue m’attendait.
