« Le poète dépend du monde comme la fleur de sa tige. Il passe sa vie à chercher l’équilibre, à répartir son poids, et c’est de cet exercice de jongleur que naissent les images, ces passerelles amovibles jetées au-dessus de l’abîme. » Ferenc Rakoczy, écrivain et psychiatre suisse et hongrois né en 1967.
« Faire de la chute un pas de danse »
(c) Manuel-F-O | Istockphoto.com « De tout, il resta trois choses : la certitude que tout était en train de commencer. La certitude qu’il fallait continuer, la certitude que cela serait…
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