« Une assistante, une secrétaire, un infographiste ou une réceptionniste se doivent de maîtriser la syntaxe du bout du clavier car cela fait partie de leur métier. Les licencier pour insuffisance professionnelle alors qu’ils commettent une faute à chaque phrase est donc tout à fait justifié aux yeux des juges. Car leurs lacunes nuisent à l’image de l’entreprise » indique le magazine Liaisons sociales dans son numéro 153. Une information qu’il serait bon de porter à la connaissance des étudiants en communication, qui, pour beaucoup, considèrent l’orthographe et la syntaxe comme une option… qu’ils ne choisissent évidemment pas !
Je terminerai ce billet par un bon mot de Bernard Pivot extrait de Les mots de ma vie : « avoir la meilleure orthographe possible, c’est montrer de l’estime pour nos amis les mots et de la politesse pour les gens qui nous lisent. Une orthographe déplorable, calamiteuse, c’est comme ne pas se laver et avoir mauvaise haleine ».