Objets oubliés, perdus, chaises inconfortables, ombrelles d’un autre temps… Il y avait là, autour, toute une accumulation de choses étrangères les unes aux autres, et pourtant reliées dans une sorte de connivence sensible. Qu’y avait-il à l’intérieur de toutes ces caisses? Quels secrets? Quels mystères? Rien que des vieux chiffons peut-être. L’encombrement des greniers ressemble parfois à celui des mémoires.
Extrait Les Déferlantes de Claudie Gallay, page 218.